Il y a des rencontres professionnelles qui changent une perspective, voire une carrière. Celle que j’ai eue avec Wisper en fait indéniablement partie.
À l’époque, je venais tout juste de quitter mes fonctions de DSI de la ville de Canteleu. Je rejoins alors Voxens, une entreprise rouennaise spécialisée dans le BPO, avec plusieurs centres d’appels répartis en France et un site offshore à Madagascar.
Très rapidement, je ressens un décalage. Les missions confiées, bien que structurées, ne sont pas en phase avec mes convictions ni avec ma vision du métier. Il faut savoir être lucide sur ce que l’on veut… ou pas. Pourtant, cette parenthèse de trois mois, aussi brève soit-elle, va s’avérer décisive.
C’est chez Voxens que je découvre Wisper. Une technologie de virtualisation du poste de travail qui, à ce moment précis, m’est totalement inconnue. Et là, c’est le déclic : si j’avais connu cette solution plus tôt, je me serais battu pour la déployer dans mes anciennes fonctions. Pourquoi ? Parce qu’elle répond tout simplement à nombre des problématiques que tout responsable informatique connaît.
Wisper, une révolution silencieuse
Le principe est simple, mais terriblement efficace. Wisper propose d’installer sur chaque poste un petit système d’exploitation open source, baptisé Wisper Core. Ce dernier fait office d’hyperviseur, permettant de lancer une machine virtuelle directement sur l’appareil, quel que soit son modèle ou sa marque.
Peu importe que votre parc informatique soit hétérogène – fixe, portable, HP, Dell, Asus ou Acer – Wisper l’unifie. Vous lancez votre machine virtuelle sur un vieux poste, et vous bénéficiez d’une expérience fluide, compatible avec les standards actuels… même avec Windows 11, qui refuse de s’installer sur du matériel jugé « trop ancien ».
Mais Wisper ne s’arrête pas là. Sa solution phare, Wisper 360, va bien plus loin en proposant un manager SaaS permettant de piloter tout le parc à distance, en temps réel. Déploiement ciblé de machines virtuelles selon les services (RH, commerciaux, production), configuration de règles personnalisées (fonds d’écran, extinction automatique, blocage du stockage local…), tout devient programmable depuis une seule interface.
Pilotage, maintenance, sobriété numérique
Ce qui m’a bluffé, c’est la capacité de Wisper 360 à offrir une vision globale du parc informatique. Chaque machine équipée du Wisper Core remonte automatiquement dans le manager. Vous obtenez un inventaire dynamique, à jour, avec des données concrètes : nombre d’allumages, temps d’usage, inactivité. Finies les machines qui dorment dans un placard. Vous savez exactement ce qui est utilisé, ou non.
Cerise sur le gâteau : Wisper intègre un outil de prise en main à distance. Plus besoin d’investir dans des solutions tierces coûteuses. Vous intervenez, même à des centaines de kilomètres, sur une machine en quelques clics. Pour les équipes informatiques éclatées ou réduites, c’est un changement de paradigme.
Une entreprise qui fait sens
Wisper n’est pas seulement une entreprise technologique. C’est une structure jeune, française, engagée pour une informatique souveraine, responsable, humaine. Sa solution prolonge la durée de vie des machines, limite le gaspillage matériel, facilite la gestion du quotidien, et place l’utilisateur au cœur de l’expérience.
Depuis cette découverte, je n’ai cessé de m’intéresser à leurs évolutions. Et aujourd’hui, je suis convaincu d’une chose : Wisper est une évidence pour toutes les structures qui souhaitent allier performance, sobriété numérique et autonomie.